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C'est le troisième opus de la chanteuse Valérie koumè. Pour ce nouveau projet et avec l'aide de Guy Nwogang, l'objectif est la mise en valeur de nos cultures et de nos traditions, notamment au travers du NKUL, instrument ancestral originaire de l'Afrique Centrale. Il en résulte des titres souvent engagés et soutenus par des rythmes comme l'Assiko ou encore l'Essèwè, musiques traditionnelles et populaires du Cameroun.

Chanteuse d'un fado atypique, moderne et métissé, la grande Mariza nous revient après une absence de 5 ans avec un nouvel album produit par Javier Limon (Diego El Cigala, Bebo Valdès, Paco de Lucia...). "Mundo" ou un voyage au pays du Fado, de son Fado du Cap- Vert à l'Espagne, de l'Argentine au Portugal. A la fois traditionnel, enraciné mais aussi contemporain, aventureux, ouvert au monde... Durant les quelques 14 années qui suivirent l'immense succès de son 1er album "Fado Em Mim" en 2001 et les multiples récompenses Mariza est partie en voyage à travers le monde.

En digne successeurs du groupe Bratsch, Marcela et ses musiciens sont de retour avec un deuxième album, O'Roma. Leur musique tzigane festive mélange habilement le français à la langue rom à travers des compositions originales et des chansons traditionnelles. Cet album plonge dans l'identité musicale du groupe et met en lumière l'univers et l'histoire singulière de Marcela.

Au cours de sa longue carrière Malavoi a souvent invité des artistes à se joindre à eux pour une rencontre musicale, un moment de partage. L'envie de rappeler que la musique est un métissage, un moment d'échange et de plaisir partagé, a créé ce projet : "Pawtaj". Retracez ces morceaux avec leur amis : Jocelyne Beroard, J.J. Goldman, Edith Lefel, Philippe Lavil, Tanya St Val, Dédé St Prix, ...

Perfil représente un retour aux racines de Dulce Pontes, aux artistes et aux histoires qui l'inspirent et au début d'une nouvelle ère dans sa discographie. Inclus, le titre Amapola, une chanson traditionnelle des années 1920 de José Maria Lacalle Garcia, interprétée pour la première fois entièrement en portugais. Produit par Dulce Pontes et coproduit par le musicien cubain Yelsy Heredia, cet album passionnant est l'un des projets les plus personnels de l'artiste. Il évolue entre le fado et la musique populaire portugaise et ouvre des horizons au jazz et à la musique latine.

Le duo établit des passerelles entre les cultures des deux rives de la Méditerranée et s'affirme comme un des leader de la musique alternative tunisienne.

Après l'incroyable succès de son deuxième album, Banzeiro (2017), Onete est devenue une des artistes les plus reconnues et les plus demandées du Brésil. C'est donc le troisième disque de l'artiste qui sort aujourd'hui, devenue presque malgré elle une figure incontournable de la culture amazonienne grâce à sa musique, mélange unique de rythmes de natifs brésiliens, d'esclaves africains et de caribéens - rassemblés dans les carimbos enjoués qui la définissent.

Un nouvel album en forme d'héritage. Avec son nouvel album Recados de Fora (Messages d'Ailleurs) Bonga, qui vient de fêter ses 74 ans le 5 septembre dernier, raconte un parcours fascinant à travers plusieurs époques et plusieurs continents, et toujours avec l'océan Atlantique en fil d'Ariane. Si Recados de Fora fait la part belle au rythme Semba, à l'image du titre Tonokenu, l'album est aussi l'occasion de se souvenir de belles personnes qui ont marqué le parcours du chanteur : Remy Kolpa-Kopoul, journaliste français parti trop tôt, voix inoubliable et grand amateur de la musique brésilienne dans le titre Banza Rémy. Cesaria Evora dont il reprend l'inoubliable Odji Maguado. Ou encore le grand compositeur brésilien Zé do Norte, dont Bonga donne une version extatique de Sodade, Meu Bem, Sodade, portée par la guitare portugaise dans la grande tradition du fado.

Cet album de l'icône de la country sortira en même temps qu'un roman co-écrit avec le célèbre auteur James Patterson qui porte également le titre Run Rose Run . Les 12 chansons ont été inspirées de l'intrigue du livre et interprétées par les artistes country et bluegrass Joe Nichols, The Issacs, et Dailey & Vincent.

Bogota est quadrillée par des rues et des avenues numérotées. C'est dans une maison de la calle 33 qu'ont grandi les frères Sergio et Santiago Mejia, fondateurs en 2000 de La-33. Des foules immenses, comme ce jour-là au parc Simon-Bolivar, plébiscitent désormais l'orchestre qui a cassé le monopole des groupes de salsa de Cali. Issus du rock, les frères Mejia ont adopté la salsa new-yorkaise des années 70 et signé, avec une version mambo du thème de La Panthère rose, le tube qui les a propulsés : " Depuis quinze ans, il existe un mouvement musical puissant en Colombie, notamment à Bogota, observent-ils. Il y a toujours plus d'endroits où jouer et dans de meilleures conditions. Quelque chose de fort va en sortir. " Fantastique machine à danser, La-33 démontre aussi que le succès est à la portée d'un groupe indépendant. Présentée en clôture de la journée Colombia ! du Festival d'Ile-de-France, la formation promet d'achever ceux qui en auront déjà plein les jambes.

Ces neuf titres, dont Oum écrit textes et musiques, réussissent à allier jazz, soul et musique traditionnelle pour créer une oeuvre de musique véritablement actuelle.