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C'est Joe Chicarelli (Beck, The Strokes, The Killers, The Raconteurs), le producteur aux nombreuses récompenses, qui s'est occupé du 13e album solo du "Moz". Le disque a été enregistré au Studio La Fabrique à Saint-Rémy-de-Provence, en France, et au Sunset Sound à Hollywood, en Californie. Morrissey a lancé l'album en sortant le single principal Bobby, don't you think they know ? On y retrouve Thelma Houston, la légende de la Motown, connue pour son interprétation de Don't leave me this way qui a dominé le Hot 100 du Billboard en 1977.

Après l'album "Every kingdom", Ben Howard revient avec sa guitare délicate, ses paroles touchantes et sa voix qui pavient à donner une atmosphère inhabituelle à ses morceaux folk.

Debussy et Messiaen considèrent Iberia comme LE chef d'oeuvre pianistique du XXème siècle : "Les yeux se ferment comme éblouis d'avoir contemplé trop d'images", écrit Debussy en 1905. Pour Nelson Goerner, cette suite en quatre livres qui évoque l'Andalousie et les quartiers populaires de Madrid est aussi une pièce majeure : "Je suis d'origine argentine, cette musique me touche, c'est comme une flèche qui me traverse... De la sublime incantation qu'est Jerez, appel aux mystères de la nuit, à Lavapiès, célèbre pour sa difficulté pianistique tant elle comporte d'enchevêtrements polyphoniques et de croisements de mains, la musique d'Albéniz dégage un panache et une joie de vivre qui, en ce qui me concerne, a été un jalon d'une importance suprême".

La jeunesse libanaise s'enflamme pour ce groupe qui aborde tous les sujets qui fâchent, des mariages forcés à l'homosexualité. Une pop scintillante, parfait antidote au désespoir qui gagne ceux qui aiment le Proche-Orient. Le groupe de rock alternatif libanais se forme en 2008 à Beyrouth dans un atelier de l'Aub, et surprend avec ce quatrième opus, plus pop que les précédents.

Un subtil mélange de chanson, de pop avec une pointe d'électro.

En plus de quinze ans d'une carrière jalonnée par la parution de cinq albums majeurs, Mendelson nous avait habitués à des disques chocs... Pourtant, rien ne nous préparait à Bruit Noir, le projet parallèle de Pascal Bouaziz et de Jean-Michel Pires. Un brûlot, une oeuvre incandescente, un maelström de poésie hurlante et de musique hallucinatoire, un cri libérateur et jubilatoire.

Cette édition deluxe continent l'album islandais, l'album anglais, ainsi que 15 titres inédits.

C'est un artiste griot du Burkina Faso. Ses musiques sillonnent la France et l'Afrique depuis déjà plusieurs années. Ses textes réalistes sur la vie africaine sont écrits en dioula, moré et français. Sa musique est un mélange culturel influencée par ces racines avec des rythmiques burkinabés et des sonorités du reggae ainsi que du mandingue, une musique avec des instruments traditionnels de l'Afrique de l'ouest, Kora, n'goni, balafon et tama. Il vous invite donc à découvrir son univers. Avec cet album, Kal Fazas lance un message militant pour un appel à une jeunesse consciente.

Insanistan est une invitation à nous émanciper. Si le mot existait vraiment, Insanistan signifierait en turc le pays des humains. Il évoque à la fois la singularité de chacun et le chemin que nous partageons avec tous les êtres vivants, de la naissance à la décomposition. Au fil de nos chansons, nous voulons avancer plus loin vers l'inconnu en unissant nos folies qui nous rendent si vivants.

Trois ans après Drunk, il revient avec cet album produit conjointement par Flying Lotus et lui-même, rassemblant les contributions d'invités triés sur le volet : Ty Dolla Sign, Childish Gambino, Lil B, Kamasi Washington, Steve Lacy de The Internet, Steve Arrington de Slave, Badbadnotgood, Louis Cole et Zack Fox. It is what it is finalise la transformation de son auteur, depuis son statut de virtuose de la basse à authentique star à la voix unique et singulière, explosant les limites des genres musicaux.

Il clame son désamour d'une existence à laquelle il s'accroche pourtant avec la poésie et la grâce de ceux qui n'ont plus rien à attendre. Le chanteur toulousain décline sur neuf titres au tracklisting particulièrement éloquent son art du désenchantement mélodique, en égrenant ses obsessions pour la finitude, l'abandon de soi-même et la douceur langoureuse de la mélancolie. J'ai horreur de l'amour est le quinzième album de Betsch, en forme "d'invitation au suicide" comme le décrit le principal intéressé, qui ne peut pourtant pas s'empêcher de glisser ça et là quelques notes de tendresse qui le caractérisent et ces incomparables touches d'humour (du gris foncé au noir) dont il a le secret.

Voici un album de référence, suivant le principe édicté par Siggi Loch le patron du label allemand ACT, avec ce rendez-vous de concerts réguliers au Philarmonic de Berlin. C'est ainsi que le 29 janvier 2017 les deux illustres guitaristes Larry Coryell (acoustique) et Philippe Catherine (électrique) se retrouvaient sur scène. Si nous ne sommes pas surpris par la qualité de leur jeu de guitare, toujours aussi exceptionnel, nous resterons émerveillés par les autres musiciens. Le contrebassiste Lars Danielsson, le pianiste Jan Lundgren et le trompettiste Paolo Fresu, au sommet de leur art, apportent ici un accompagnement particulièrement raffiné et affiné, dans le chemin d'une écriture musicale stellaire, en se plaçant juste au-dessus d'un horizon musical, d'une suite d'inspirations qui sont un pont entre le Jazz Made in USA et le Jazz Européen qui s'enrichissent l'un et l'autre de multiples sources intellectuelles.